| France - 1835 - 788 pages
...lire. Il pencha sou front sur sa main, Et resta jusqu'au lendemain , Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans , Je marchais un jour,...vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin ; II tenait un luth d'une main , De l'autre un bouquet d'églantine. Il... | |
| Alfred de Musset - 1841 - 456 pages
...lire. Il pencha son front sur sa main , Et resta jusqu'au lendemain , Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans , Je marchais un jour,...vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin ; Il tenait un luth d'une main , De l'autre un bouquet d'églantine. Il... | |
| 1889 - 488 pages
...charmante préface. « Un soir d'octobre 1864, sur les bancs du collège Sainte-Barbe, près de moi vint s'asseoir un jeune homme vêtu de noir qui me ressemblait comme un frère. C'était Hector l'Estraz. Romantique, romanesque même, doux et rêveur, il était, dès le collège,... | |
| Alfred de Musset - French poetry - 1849 - 428 pages
...vint lire. Il peneha son front sur sa main, Et resta jusqu'au lendemain Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour,...vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin; ll tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine. Il me... | |
| Alfred de Musset - 1852 - 306 pages
...vint lire. II pencha son front sur sa main, Et resta jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour,...vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin ; II tenait un luth d'une main, l)e l'autre un bouquet d'églaiiline. II... | |
| A. Roche - 1853 - 720 pages
...vint lire. II pencha son front sur sa main, Et resta jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour,...vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin ; ll tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine. ll me... | |
| 1857 - 430 pages
...vint lire; H pencha son front sur sa main, Et resta jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour à pas lents; Hans im bois, sur une bruyère, Au pied d'un arbre vint s'asseoir ,. 310 311 Un jeune homme vêtu de... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 340 pages
...vint lire. II pencha son front sur ma main, Et resta jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour,...vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin; II tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine. Il me... | |
| Alfred de Musset - 1860 - 300 pages
...vint lire. Il pencha son front sur ma main. Et resta jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour,...jeune homme vêtu de noir, Qui me ressemblait comme uu frère, Je lui demandai mon chemin : II tenait un luth d'une main. De l'autre un bouquet d'églantine.... | |
| L. Pylodet - French poetry - 1866 - 198 pages
...vint lire. Il pencha son front sur sa main, Et resta jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour,...vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin ; II tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine. Il me... | |
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