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Controllé a Dourdan ce vingt un fevrier Mil Sept Cent Trente Trois, Signé Godarville, scellé Ledit jour et au que dessus. Secretaire Du Roy Maison Couronne de France, de ses finances, ce vingt trois januier Mil Sept Cent Trente Trois Par Mon dit, etc., [Signe] DE LAFONTAINE.

Collationne sur vue Copie en Papier Timbré representé pour demeurer au rang des Minuttes du notaire soussigné, a Montreal ce neuf juin Mil Sept Cent Trente Six. RAIMBAULT FILS,

Nre ROYAL.

Nous Pierre Raimbault, Conseiller du Roy et son Lieutenant General Civil et Criminel au siege de la Jurisdiction de Montreal Certiffione, que Mre Raimbault quy a fait Lexpedition des autres Parts est Notaire Royalle En Laa Jurisdiction et que foy en adjoute aux actes quil passe, En foy de quoy nous auons signé ces Presentes, et ascelle fait apposer Le Sceau de notre Jurisdiction et contresigne par notre Greffier. Fait a Montreal le onze juin Mil Sept Cent Trente Six.

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Messire Robert Phillippe Drouet ]
Ecuyer Seigneur Dosiret Bragy
Saint Phelix Musi St. Pont et
autres lieux eut de Dame Elisa-
beth Dauenquerque son épouse

Messire Christophle Drouet Ecu-
yer Seigneur Dosiret St. Phelix
Bragy Musi St. Pont et autres
lieux inspecteur de cavalerie
eut de Dalle Françoise Le Bottu
son épouse en première noce
Et Ledit Messire Christophle
Drouet Ecuyer Seigneur Dosi-
ret Saint Felix Musi St. Pont et
autres lieux eut de Damoiselle
Adelaide de Barrieres son épouse
en seconde noce

Messire Charles Drouét Ecuyer
Seigneur des Saussayes St.
Amand Bauac et autres lieux
capitaine de cavalerie eut de Dlle
Le Brun de la Serisayes, son
épouse

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AINES

CADETS

FILLES

Messire Alexandre César Drouet Ecuyer, Seigneur des Saussayes Bragy Musi St. Pont, Bauac et autres lieux, eut de Dile Crasseur de St. Mour, son épouse

St.

Messire Pierre Drouet Ecuyer Seigneur des Saussayes Amand Bouac Beaucour et atures lieux, capitaine d'infanterie, eut de Dile Christine le Seigneux, son épouse

Messire Michel Drouet Ecuyer Seigneur d'Armancourt de Bouval de Manorque des Bruyères et autres lieux, eut de Dame Louise de St. Genie (veuve de Mesre gerome grabeau, Seig des Martrais) son épouse

Messire Gaspard Melchior Drouet Ecuyer Seigneur Darmancourt Saint Barthelemy, Meranges Bonnal et autres lieux. Major du régiment du Roy infanterie. Eut de Dlle Claude du Verger son épouse

Messire Louis Drouet Ecuyer Seig Darmancourt Saint Barthelemy, Moranges et autres lieux, lieutenant du Roy dest Lo. Eut de Dile Henriette du Cerceau St. Leger son épouse

Messire René Battazar Drouet Ecuyer Seigneur Darmancourt Saint Barthelemy, Moranges et autres lieux, mestre de camp de cavalerie eut de Damoiselle Louise de Sont L'évêque son épouse

Mesre Théodore Emanuel Drouet Ecuyer Seigneur de Prille Saint Paulis des Bois Boissi uranget et autres lieux, capitaine de cavalerie réformé. Eut de Dame Marguerite de Valençay (veuve de Mesre Joachim Eusebe Dufournier) son épouse en première noce

Et ledit Sire Théodore Emanuel, etc. Eut de Dlle françoise Nicole de Lavaux son épouse en seconde noce

VOL. XXIV.-No. 1.-4

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Cét Extrait Vû Lû et Collationné sur L'original representé et a l'instant rendu par nous. Lieutenant General de la ville, jurisdiction et election de Dourdan, sousigné ce vingt neuf Januier Mil Sept Cent Trente Trois.

[Signe] LE BOIXTEL,

Avec paraphe, Era Cotte Est Ecrit.

Controlle à Dourdan, le vingt un feburie Mil Sept Cent Trente Trois.

[Signé] GODARVILLE.

Scellé Led jour et au que dessu.

MESSIRE CLAUDE DROUET
ESCUER SR DE RICHARDVILLE
Né Le 17a Xbre 16.

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CADETS

Armand né le
25d mar 1695
Michelignac né
le 28d 8bre
1697
Antoine né le
27d mar 1699
Etienne né le
21d avril 1705 }
Jean Louis né le
4d de may 1707
Pierre Charles
né le 27d 7bre
1712
Claude Antoine
né le 27d
feurie 1715

Claude, né le
3d Xbre 1724
Michel,né le rod
may 1726
Louis, né le 29d
avril 1728

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Collatione sur une Coppie per timbré representé pour Demeurer au Rang des minutes du Notaire soussigné à Montréal ce neuf juin mil sept cent trente six.

RAIMBAULT FILS,
Nre royal.

Nous Pierre Raimbault Come du Roy Lieutenant-General Civil et Criminel au seige Royalle de Montreal

[WAX SEAL] Certiffione que Me Raimbault quy a fait Lexpedition des autres Parts est Notaire Royalle en lad jurisdiction et que foy est adjouté aux actes quel pase, en foy de quoy nous avons ces Presentes. Et ascelle fait apposer Le Sceau de Notre jurisdiction. Et Contresigne par Notre Greffier. Fait à Montreal le Onze juin Mil Sept Cent Trente Six. P. RAIMBAULT,

[SEAL]

*

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FORT WAYNE, INDIANA

Respectfully yours,

R.S. Robection,

PRESIDENT LINCOLN'S HUMOR

President Lincoln had humor of which he was totally unconscious. He said wonderfully witty things, but never from a desire to be witty. His wit was entirely illustrative. He used it because at times he could say more in this way and better illustrate an idea. He never cared how he made a point, so that he made it, and he never told a story for the mere sake of telling a story. He was a master of satire, which was at times as blunt as a meat-axe and at others as keen as a razor; but it was always kindly except when some horrible injustice was its inspiration, and then it was terrible.

In my interview the name came up of a recently deceased politician of Illinois, whose undeniable merit was blemished by an overweening vanity. His funeral was very largely attended. "If," said Mr. Lincoln, “General had known how big a funeral he would have had, he would have died years ago." His flow of humor was a sparkling spring gushing out of a rock; the flashing water had a sombre background which made it all the brighter. Whenever merriment came over that wonderful countenance it was like a gleam of sunshine upon a cloud-it illuminated but did not dissipate.

This was in 1858. Lincoln said he should carry the state on the popular vote, but that Douglas would nevertheless be elected to the senate, owing to the skillful manner in which the state had been districted in his interest. "You can't overturn a pyramid," he said, "but you can undermine it that's what I have been trying to do." He undermined the pyramid the astute Douglas had erected most effectually. It toppled and fell very shortly afterward.

Nothing so illustrates the fact that events are stronger than men, and that one attacking an evil can never commence using the little end of a club without changing very soon to the butt, than the position of Lincoln at this time. The Republican leaders, and Lincoln as well, were afraid of only one thing, and that was of having imputed to them any desire to abolish slavery. Douglas in all the debates between himself and Lincoln attempted to fasten abolition upon him, and this it was his chief desire to avoid. Great as he was, he had not then reached the point of declaring war upon slavery; he could go no farther than to protest against its extension into the territories, and that was pressed in so mild and hesitating

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