Voyez les enfants, ils se figurent ce qu'ils veulent voir; ils transforment tout à plaisir; un bâton sur l'épaule, et les voilà soldats; un bâton qu'ils enfourchent, les voilà cavaliers; ainsi des peuples jeunes, ils ont les yeux dociles et complaisants.... Gazette des beaux-arts - Page 3091861Full view - About this book
| Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - France - 1859 - 796 pages
...fraîcheur d'esprit, moins ils demandent à leur théâtre un système de décors rigoureusement imitatif. Voyez les enfants, ils se figurent ce qu'ils veulent...châteaux, on joue la comédie, on la joue sans coulisses ot sans toile de fond, un simple paravent fait l'affaire. C'était un paravent de marbre que la décoration... | |
| Louis Vitet - Art - 1864 - 416 pages
...fraîcheur d'esprit, moins ils demandent à leur théâtre un système de décors rigoureusement imilatifs. Voyez les enfants ! Ils se figurent ce qu'ils veulent...on joue la comédie, on la joue sans coulisses et sans toile de fond ; un simple paravent fait l'affaire. C'était un paravent de marbre que la décoration... | |
| Louis Vitet - Art - 1864 - 412 pages
...fraîcheur d'esprit, moins ils demandent à leur théâtre un système de décors rigoureusement imilatifs. Voyez les enfants ! Ils se figurent ce qu'ils veulent...voilà soldats ; un bâton qu'ils enfourchent, les voila cavaliers ; ainsi des peuples jeunes, ils ont les yeux dociles et complaisants. Pour se passer... | |
| Emile Deschanel - Aristophanes - 1876 - 492 pages
...siècle. — Gomme le remarque fort bien M. Vitet, dans ses études sur l'art et le théâtre antiques, « plus les peuples ont d'imagination et de fraîcheur...on joue la comédie, on la joue sans coulisses et sans toile de fond : un simple paravent fait l'affaire. C'était un paravent de marbre que la décoration... | |
| Paul Stapfer - 1879 - 528 pages
...Voyez les enfants! ils se figurent ce qu'ils veulent voir; ils transforment tout à plaisir : un bAton sur l'épaule, et les voilà soldats! Un bâton qu'ils...jeunes. Ils ont les yeux dociles et complaisants. » M. Taine, parlant du vieux théâtre anglais, dit fort bien: « Rappelez-vous votre adolescence.... | |
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