Revue historique de droit français et étrangerAugust Durand, Librarie, 1866 - International law |
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aussy auteurs avaient Basil bâtards Bermont Bessoncourt bonorum possessio c'était cause chap Chevremont chose civil civitate Code Code civil Code Napoléon Colbert communauté Comp concubinat concubine considérer const constitution contrat coutumes créancier d'Aguesseau débiteur devait dispositions dixme Domat donations donner écrit enfants légitimes enfants naturels erit exhérédé famille femme finage fueros général germanique glandage héritiers institutions jure jurisconsultes jurisprudence justice Justinien l'Assize l'Ecloga l'édit Carbonien l'enfant l'impubère l'ordonnance l'unité législation legs lois Louis XIV Louvois maire Malaga matière ment Moval moyen âge n'avait n'était novation Novelle obligations optio ordonnances pacte parents pecun père personnes Petit-Croix Plasencia polygamie Pothier pouvait premier préteur principes question réforme règles rente reste romain secrétaires d'État seigneurie de Belfort serait serf seulement Sevenans siècle spéciale subjects succession suivant sujet testament texte tiers tion titre Traité Trétudans trouve tutelle tutoris Ulpien vente Wisigoths δὲ εἰς καὶ τῆς τοῦ τῶν
Popular passages
Page 102 - Le pavillon neutre couvre la marchandise ennemie, à l'exception de la contrebande de guerre. 3) La marchandise neutre, à l'exception de la contrebande de guerre, n'est pas saisissable sous pavillon ennemi. 4...
Page 572 - Providence; et c'est pour lui rendre les actions de grâces qui lui en sont dues que je vous fais cette lettre, pour vous...
Page 610 - Nicole, était si étendu ; qui était le centre de tant de choses ! Que d'affaires, que de desseins, que de projets, que de secrets, que d'intérêts à démêler, que de guerres commencées, que d'intrigues, que de beaux coups d'échecs à faire et à conduire! Ah, mon Dieu ! donnez-moi un peu de temps, je voudrais bien donner un échec au duc de Savoie, un mat au prince d'Orange? Non, non, vous n'aurez pas un seul, un seul moment.
Page 591 - Ses yeux montraient de la douceur et de l'esprit ; toute sa physionomie, de la sagesse et de la candeur ; un art, une dextérité, un talent singulier à prendre ses avantages en traitant ; une finesse, une souplesse sans ruse qui savait parvenir à ses fins sans irriter ; une douceur et une patience qui charmait dans les affaires ; et avec cela une fermeté...
Page 307 - Romana mutatus | mutata non esset, esto idque ius tutoris optandi habeto, quod | haberet, si a cive Romano ortus orta neq(ue) civitate mutatus mu | tata esset.
Page 24 - Il ya de certaines idées d'uniformité qui saisissent quelquefois les grands esprits ( car elles ont touché Charlemagne ) , mais qui frappent infailliblement les petits. Ils y trouvent un genre de perfection qu'ils reconnaissent, parce qu'il est impossible de ne le pas découvrir : les mêmes poids dans la police , les mêmes mesures dans le commerce , les mêmes lois dans l'État , la même religion dans toutes ses parties.
Page 96 - ... c'est dans cet état de choses qu'on eût trouvé plus de chances d'amener partout l'unité des codes, celle des principes, des opinions, des sentiments, des vues et des intérêts. Alors peut-être à la faveur des lumières universellement répandues, devenait-il permis de rêver, pour la grande famille européenne, l'application du congrès américain, ou celle des Amphictyons de la Grèce...
Page 570 - Mais au contraire, je voulus partager l'exécution de mes ordies entre plusieurs personnes, afin d'en réunir toute l'autorité en la mienne seule. C'est pour cela que je voulus choisir des hommes de diverses professions et de divers...
Page 603 - ... dans les reparties, tant de facilité et de solidité dans le travail, tant d'expédition, tant de subite connaissance des hommes ni plus de tour à les prendre. Avec ces qualités une simplicité éclairée, et une sage gaieté surnageaient à tout, et le rendaient charmant en riens et en affaires.
Page 95 - Une de mes plus grandes pensées avait été l'agglomération, la concentration des mêmes peuples géographiques qu'ont dissous, morcelés les révolutions et la politique. Ainsi, l'on compte en Europe, bien qu'épars, plus de trente millions de Français, quinze millions d'Espagnols, quinze millions d'Italiens, trente millions d'Allemands : j'eusse voulu faire de chacun de ces peuples un seul et même corps de nation...