 | François Benoît Hoffmann - 1828 - 564 pages
...visites, etc. Je rn'irna» gine que cette nation intrigante ne serait pas » fâchée de se mêler de nos affaires et de souffler » le feu entre la Grande-Bretagne et ses colo» nies » Ah! si M. de Vergennes avait connu cette lettre! On n'aura pas de peine à croire que... | |
 | Cornelis Henri de Witt - Democracy - 1861 - 590 pages
...fait des visites, etc. Je me figure que cette nation intrigante voudrait se mêler de nos affaires et souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies;...j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion '. » Franklin le désirait encore plus qu'il ne l'espérait. Il n'avait nulle confiance dans la sagesse... | |
 | Cornélis Henri de Witt - 1861 - 596 pages
...fait des visites, etc. Je me ligure que cette nntion intrigante voudrait se mêler de nos affaires cl souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies;...j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion '. » Franklin le désirait encore plus qu'il ne l'espérait. Il n'avait nulle confiance dans la sagesse... | |
 | George Bancroft - 1864 - 370 pages
...Cette nation intrigante, » dit Franklin (i), « aimerait volontiers attiser le feu entre l'Angleterre et ses colonies ; mais j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion. » « En Angleterre, » remarquait encore Durand (2), « il n'y a personne qui ne reconnaisse qu'un... | |
 | Benjamin Franklin - American letters - 1866 - 488 pages
...fait des visites, etc. J'imagine que cette nation intrigante' ne serait pas fâchée de se mêler de nos affaires et de souffler le feu entre la Grande-Bretagne...j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion. Je vous écris à la hâte, car je pars dans une heure pour un autre voyage, avec mon solide et bon... | |
 | Léon Chotteau - United States - 1876 - 462 pages
...à son fils : « J'imagine que cette uation intrigante aimerait à se mêler de nos affaires et à souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui donnerons pas ce plaisir. » M. de Vergennes entre au ministère. L'attitude calme et digne des Américains... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1891 - 674 pages
...m'imagine, disait-il (août 1767), que cette intrigante nation, ne serait pas fâchée de s'immiscer dans nos affaires, et de souffler le feu entre la...et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui en fournirons point l'occasion. » L'occasion était toute produite et toute oiiverte dix ans après,... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, American - 1905 - 334 pages
...m'imagine, disaitil (août 1767), que cette intrigante nation ne serait pas fâchée de s'immiscer dans nos affaires, et de souffler le feu entre la...et ses colonies ; mais j'espère que nous ne lui en fournirons point l'occasion." L'occasion était toute produite et tout ouverte dix ans après, et c'était... | |
 | France - 1917 - 1186 pages
...fils j « J'imagine que cette nation intrigante aimerait à se mêler de nos affaires et à soufflerie feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui donnerons pas ce plaisir (1). » La même année, il avail fait un séjour à Paris, où, déjà célèbre... | |
 | French literature - 1925 - 998 pages
...: « J'imagine que cette nation intrigante (la France) aimerait à se mêler de nos affaires et à souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui donnerons pas ce plaisir. » Ces sentiments changèrent vite, une fois l'insurrection commencée. Si... | |
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Je me figure que cette nation intrigante voudrait se mêler de nos affaires et souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion '. » Franklin le désirait encore plus qu'il ne l'espérait. 